
There is a bad seed. A baaaaaaaad seed. How bad ? Do you really want to know ? He lies about pointless stuff. He cuts in line. Every time. He never washes his hands… or his feet. And he does lots of other bad things too. But what happens when a bad seed doesn’t want to be bad anymore ? Can a bad seed change his baaaaad ways ?
The bad seed de l’Américain Jory John, c’est une graine de tournesol, une pipasol, qui se comporte comme une terreur en société. Mais elle n’a pas toujours été une peste malpolie. Elle a vécu en famille au sein de sa maman tournesol jusqu’au jour où les choses ont mal tourné.
Comme dans les contes, elle échappe de peu à un sort funeste qui la laisse K.O.
Cependant, lorsqu’elle reprend connaissance, scotchée sur un chewing-gum collé sur le bitume, avec sa coquille fendillée, elle est devenue méchante.
Seulement, elle se rend bien compte qu’elle n’est pas très heureuse comme ça. Va-t-elle réussir à faire bouger les lignes? Adopter de meilleures manières?
Bien sûr, on ne lui demande pas d’être un ange (to be a good egg, en anglais). Mais la vie n’est-elle pas plus craquante quand on s’efforce de respecter les règles du jeu?

La mauvaise graine (c) Le lotus et l’éléphant, 2024

The good egg (c) Jory John, Pete Oswald
Premier d’une série autour des petits délices alimentaires, suivi par The good egg, The bad seed est paru en France aux éditions Le lotus et l’éléphant sous le titre La mauvaise graine.
Une réponse
[…] intéressant à l’album La mauvaise graine (2017), L’oeuf parfait fait face à un double défi […]