The bad seed de l’Américain Jory John, c’est une graine de tournesol, une pipasol, qui se comporte comme une terreur en société. Mais elle n’a pas toujours été une peste malpolie. Elle a vécu en famille au sein de sa maman tournesol jusqu’au jour où les choses ont mal tourné. Comme dans les contes, elle échappe de peu à un sort funeste.
Cependant, lorsqu’elle reprend connaissance, scotchée sur un chewing-gum collé sur le bitume, avec sa coquille fendillée, elle est devenue méchante.
Seulement, elle se rend bien compte qu’elle n’est pas très heureuse comme ça. Va-t-elle réussir à faire bouger les lignes? Adopter de meilleures manières?
Bien sûr, on ne lui demande pas d’être un ange (a good egg, en anglais). Mais la vie n’est-elle pas plus craquante quand on s’efforce de respecter les règles du jeu?
Premier d’une série autour des petits délices alimentaires, suivi par The good egg, The bad seed est paru en France aux éditions Le lotus et l’éléphant sous le titre La mauvaise graine.
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