Business is business
Les Anglo-Saxons ont un rapport à l’édition jeunesse différent des Français. Pour eux, les livres pour enfants, c’est du sérieux. Les auteurs sont connus, reconnus.
Les jeux sont un prolongement marketing naturel des œuvres. Les éditeurs l’ont bien compris, les jeux sont légions. Les illustrateurs eux-mêmes ont bien souvent développé sur leur site web une rubrique de jeux sur papier ou en ligne (activities, event kits, downloads).
La presse généraliste donne le ton
Le journal anglais The Guardian avec sa rubrique web How to draw attire les meilleurs illustrateurs britanniques pour un cours de dessin en lien avec le héros de leurs albums. Côté Etats-Unis, le New York Times opère des classements des meilleurs titres et Illustrateurs.
Prix artistiques
Enfin, la médaille Caldecott couronne chaque année les meilleurs albums parus aux Etats-Unis. En France, les éditions du Genévrier ont dédié une collection à cette médaille.
Blogs de référence
Picturebook makers – Playing by the book
À vous de jouer
Alors, papiers, crayons, ciseaux : à vos marques, prêt, feu, c’est à vous de jouer. Pour débuter, voici quelques pistes à explorer :
Dès 3 ans
Va-t-en grand monstre vert d’Ed Emberley – Mimi la souris de Lucy Cousins (Maisy en anglais) – Un peu perdu de Chris Haughton – Le gruffalo de Julia Donaldson et Axel Scheffler
Dès 4 ans
M. tigre se déchaîne de Peter Brown – Pélagie la sorcière de Valerie Thomas et Korky Paul (Winnie the witch en anglais) – Charlie et Lola de Lauren Child – Oliver Jeffers
Une réponse
[…] oui, on pense à Va-t-en grand Monstre vert dont Manceau a certainement connaissance. Mais c’est bien le propre des grands artistes de […]