Émile est tendre, imaginatif et un tantinet obstiné, comme beaucoup d'enfants de 4 ou 5 ans. C'est pour celà qu'on rit si fort à la lecture de ses albums.
Lorsque je suis tombée sur le titre Le Chien que Nino n’avait pas, je n’ai pas eu envie de le feuilleter : trop sombre, trop nordique, trop rétro? Pas du tout le genre d’ouvrages que publie d’habitude Didier jeunesse. Et puis bon, je l’avais en main, et je savais qu’il avait reçu le Prix Sorcières, […]